CAROLINE THIEBOT

J’entends la géométrie du ciel comme une partition secrète : planètes, étoiles, astéroïdes murmurent, tissent des liens et font émerger des figures archétypales. Elles sont comme des forces vivantes et nos alliées primordiales.

Je ne sais jamais à l’avance ce qui se révélera. J’écoute et parfois surgit une étoile oubliée qui réclame sa place. Chaque fois, c’est une rencontre. Chaque Sympan est unique. Comme vous.

Je fais descendre les murmures du ciel dans la matière.
L’or, solaire, capte la lumière et transmute. Les pierres traduisent les nuances des figures célestes selon la géométrie. Les pierres parlent, résonnent en nous, éveillent des états intérieurs, des manières d’aimer, de créer, et de se relier au vivant. Je les accorde comme on accorde un instrument : suspendues par des cordes de piano, elles révèlent nos cordes sensibles et vibrent à l’unisson de notre singularité. Car aucune pierre n’agit seule : c’est la somme de leurs résonances qui crée une œuvre vivante.

J’accompagne chaque Sympan d’un livret sur-mesure. Je met en mots ce que l’œuvre dit en silence. Ce n’est pas une prédiction, mais le langage symbolique du ciel qui éclaire vos passages, vos métamorphoses, vos renaissances.

Le Sympan vous rappelle que votre vie elle-même est en train de se sculpter. Et qu’être soi-même est la plus belle des œuvres d’art.

Chaque Sympan accompagne une vie, une quête ou un passage et l’inscrit dans la trame du monde :
— l’élan d’un enfant qui grandit,
— la recherche intérieure d’un adulte,
— la rencontre amoureuse ou la vibration d’un couple,
— l’appel d’une vocation,
— la mémoire d’un être aimé.

C’est un art solaire qui offre clarté, profondeur et la joie rayonnante d’être soi.

« Je suis née en normandie une nuit d’août 1975, sous la pluie d’étoiles filantes des Perséides. Enfant, je jouais avec les murmures du ciel, les pierres et l’invisible comme d’autres avec des jouets. J’ai cru ce qu’on me disait : que la singularité était une anomalie. Alors je l’ai cachée. Mais le ciel, comme le corps, ne cessent jamais de parler.

J’ai grandi. J’ai empilé les diplômes et les disciplines, non par ego mais par curiosité insatiable. J’ai exploré les sciences et les arts, les chiffres et les symboles, les pierres dans tous leurs états – minéralogie, immobilier, géobiologie – fascinée par l’harmonie étrange qui relie toute chose. Et partout, la même évidence : la vie est faite de visible et d’invisible, de polarités, et le beau se cache dans l’harmonie.

J’ai fait plus de 50 fois le tour du Soleil. Mes plus belles victoires n’ont pas été académiques, elles sont nées de mes rencontres avec l’indicible. Des chemins multiples m’ont menée à la joaillerie, où l’or et les pierres sont redevenus mes alliés du quotidien. J’ai compris que ma quête n’était pas de créer des bijoux, mais de donner forme à l’invisible et de révéler ce qui brille dans l’âme humaine. J’ai renoué avec les astrologies érudites – hellénistique et archétypale – celles qui éclairent et libèrent.

Un soir de tempête, j’ai créé le premier Sympan.  A ce moment-là, j’ai compris que je tenais entre mes mains bien plus qu’un objet : un art capable de reconnecter chacun à son âme et à l’âme du monde. Un art capable de nous montrer toute la beauté de notre propre singularité et de nous faire ressentir le sens de notre existence. Un art qui procure une joie profonde, légère comme une gaieté retrouvée. J’avais trouvé dans le Sympan ce que le ciel et les pierres me murmuraient depuis toujours : ma singularité n’était pas une anomalie, elle était mon trésor — et en chacun, elle est la plus précieuse des richesses.

Les Sympans sont des œuvres rares et précieuses.
Je les destine aux belles âmes, à celles qui savent y reconnaître bien plus qu’un objet : une clé pour entrer en résonance avec elles-mêmes, avec l’harmonie du monde, et inviter cette présence d’or et de beauté à habiter leur vie, leur maison, leur histoire. »